Le ministre de l’Energie et du Pétrole était sur le plateau du Jury Du Dimanche (JDD) pour des ressources naturelles découvertes au Sénégal et dont la gestion par le régime en place suscite une très grosse polémique. Makhtar Cissé qui assure que l’Etat a pris toutes les mesures pour que les ressources reviennent aux Sénégalais, indique également que la meilleure approche à prendre pour une gestion transparente, c’est d’informer le peuple de tout ce qui se fait.
Selon Mouhamadou Makhtar Cissé, « Toutes les précautions légales et réglementaires ont été prises pour préserver les ressources du Sénégal ». Il en veut pour preuves, l’inscription dans la Constitution, depuis 2016, du droit de propriété du peuple et l’inscription du Sénégal à l’Initiative pour la transparence dans les industries extractives (Itie).
« Bien avant, en 2013, le Sénégal avait adhéré à l’Itie, une initiative indépendante et autonome aux normes incontestables. Et nous sommes passés sur le tamis après avoir répondu à tous les critères qu’exige l’Itie avec la note la plus élevée : progrès satisfaisant », a-t-il souligné l’ancien DG de la Senelec à Mamoudou Ibra Kane.
Le ministre ne s’arrête pas là pour démontrer la souveraineté du Sénégal sur ses ressources naturelles. Il a aussi cité la mise en place du Cos Pétrogaz. « C’est un espace de concertation, d’impulsion et de dialogue.
Récemment, vous avez pu entendre le président de la République dire qu’il souhaiterait que l’on puisse y adjoindre des membres de la société civile et de l’opposition politique. C’est dire qu’il y a une approche pour une gestion concertée de ces ressources. Parce que, la meilleure garantie de transparence, donc de souveraineté, c’est l’information des citoyens. Et rien ne se passe dans ce secteur, sous la table ou en dehors de la connaissance ou du regard des populations », dit-il.
Selon Mouhamadou Makhtar Cissé, « Toutes les précautions légales et réglementaires ont été prises pour préserver les ressources du Sénégal ». Il en veut pour preuves, l’inscription dans la Constitution, depuis 2016, du droit de propriété du peuple et l’inscription du Sénégal à l’Initiative pour la transparence dans les industries extractives (Itie).
« Bien avant, en 2013, le Sénégal avait adhéré à l’Itie, une initiative indépendante et autonome aux normes incontestables. Et nous sommes passés sur le tamis après avoir répondu à tous les critères qu’exige l’Itie avec la note la plus élevée : progrès satisfaisant », a-t-il souligné l’ancien DG de la Senelec à Mamoudou Ibra Kane.
Le ministre ne s’arrête pas là pour démontrer la souveraineté du Sénégal sur ses ressources naturelles. Il a aussi cité la mise en place du Cos Pétrogaz. « C’est un espace de concertation, d’impulsion et de dialogue.
Récemment, vous avez pu entendre le président de la République dire qu’il souhaiterait que l’on puisse y adjoindre des membres de la société civile et de l’opposition politique. C’est dire qu’il y a une approche pour une gestion concertée de ces ressources. Parce que, la meilleure garantie de transparence, donc de souveraineté, c’est l’information des citoyens. Et rien ne se passe dans ce secteur, sous la table ou en dehors de la connaissance ou du regard des populations », dit-il.